Ses recherches portent sur l’évaluation du risque de rupture fragile des ponts en acier canadiens. À l’heure actuelle, les dispositions canadiennes relatives aux ruptures fragiles sont grandement simplifiées par rapport aux dispositions européennes correspondantes. Dans le cadre de son projet de thèse, Michelle évalue le niveau de fiabilité associé aux dispositions canadiennes de calcul des ruptures fragiles de la norme CSA S6 au moyen d’un cadre probabiliste de mécanique des ruptures afin de cerner les points à améliorer. Ces travaux visent à améliorer les dispositions canadiennes du point de vue de la sécurité et de l’économie, et à proposer de nouvelles dispositions pour les situations qui ne sont pas abordées à l’heure actuelle, comme les ponts piétonniers, les structures fabriquées à partir de plaques très épaisses et les structures endommagées par le froid ou par des chocs.