Protection contre l’incendie inégalée

 

La sécurité des personnes, et tout particulièrement la protection contre l’incendie, a toujours été et sera toujours une préoccupation de premier ordre pour les codes du bâtiment. L’acier est un matériau non combustible et, par conséquent, qui ne brûle pas. Ceci signifie qu’il n’est pas une source d’ignition ou de charge de carburant qui favoriserait la propagation du feu et qui aurait des conséquences désastreuses. L’acier ne fond pas à des températures qui règnent généralement dans un bâtiment en flammes. Il est ininflammable et son degré de résistance au feu ne se dégrade pas dans le temps du le cycle de vie d’un bâtiment. Ceci permet de réduire les risques d’exposition à un incendie pour les travailleurs et les occupants, d’atténuer les conséquences pour les services d’incendie municipaux, de diminuer la perte d’efficacité des gicleurs et, comme résultats, de causer moins de dommages au bâtiment et aux bâtiments adjacents et dégâts collatéraux en cas d’incendie.

  • L’acier à un point de fusion d’approximativement 1500 °C (2700 °F). Dans le cadre d’un scénario d’incendie type, comme dans un bureau, une résidence ou un magasin de détail, la température maximale d’un incendie complètement développé ne dépassera généralement pas 800 à 900 °C (1500 à 1650 °F), bien qu’elle puisse atteindre un sommet de 1100 °C (2000 °F) pour une courte durée.
  • Les codes du bâtiment reconnaissent le fait que les bâtiments conçus avec des matériaux non combustibles comme l’acier présentent un risque moindre d’incendie pour le public que des systèmes avec des matériaux combustibles, lesquels sont limités à six étages de haut au Canada et à 85 pieds aux É.-U.

L’acier est un matériau non combustible et par conséquent ne brûle pas. Ceci signifie qu’il n’est pas une source d’ignition ou de charge de carburant qui favoriserait la propagation du feu et qui aurait des conséquences désastreuses.

« Les changements apportés aux codes du bâtiment qui permettent l’utilisation d’éléments d’ossature combustibles dans des bâtiments beaucoup plus grands et plus hauts sont allés trop loin et ils ont créé une vraie tempête qui peut rapidement dépasser la capacité de traitement par les services d’intervention en cas d’incendie. »
– CHEF STEVE LOHR, SERVICE DES INCENDIES DE HAGERSTOWN (MD)